LA CARROSSERIE POLYCAR CHOISIT LES EQUIPEMENTS OMIA

Un enfant du pays

C’est en 1992 qu’Yves Polet crée sa carrosserie à Lincent. C’est un enfant du pays et très vite, les clients affluent. Un peu à l’étroit dans ses installations, il reprend en 2013 les locaux d’une carrosserie implantée dans le zoning d’Hannut. Il s’associe alors à Denis Gilbert, expert automobile auprès des assurances. Un duo de choc est né. L’un spécialiste en carrosserie depuis plus de 20 ans et l’autre expert depuis autant d’années en sinistres automobiles.

Appel d’offres

La cabine de peinture des nouveaux locaux avait 20 ans et il était grand temps de la changer. Après un appel d’offres, c’est OMIA qui fut choisi. “C’était un outsider, à l’époque, mais cette marque française nous proposait tout ce que nous attendions et Wim De Clercq, le general manager de CSB², la société représentant OMIA en Belgique, put répondre à nos attentes”.

Leader sur le marché français

Omia propose depuis 1947 une gamme d’équipements de peinture pour le traitement de surface tant dans le secteur industriel que dans le secteur automobile. Depuis les aires de préparation jusqu’au ponçage, en passant par les cabines de peinture, les sécheurs infrarouges et les tables élévatrices, ce fabricant français fabrique l’équipement complet pour toute carrosserie, sans oublier évidemment le service de maintenance. En Belgique, c’est la société CSB² (Cabine Service Belgique, l’exposant 2 représentant le filtrage de l’air) qui représente le fabricant français.

Toutes marques, toutes assurances

Polycar est la seule carrosserie de la région. Elle travaille toutes les marques de voitures et pour toutes les compagnies d’assurances, ainsi que pour la plupart des sociétés de leasing. Elle est aussi membre du réseau Axial, qui est le plus important groupement de carrosseries en Belgique qui compte une centaine de membres. “Le fait d’appartenir à ce groupement nous donne la force d’un réseau tout en gardant la souplesse d’une PME”, nous dit Denis Gilbert.

Choisir les bons partenaires

“Nous essayons de mettre toutes les chances de notre côté”, ajoute Yves Polet, “en travaillant avec les bons partenaires comme Glasurit, par exemple, et en choisissant le top d’un point de vue technologique et technique par rapport à la concurrence”. Depuis l’implantation des équipements OMIA chez Polycar, ces installations ont fonctionné pendant environ 9.000 heures et ont traité près de 10.000 voitures, ce qui représente environ 30 à 35 véhicules par semaine.

Des délais courts

“Ces installations nous permettent aussi de réduire les délais d’attente. Ils sont actuellement d’environ deux à trois semaines. Nous offrons aussi à nos clients des véhicules de remplacement. Nous disposons pour cela d’une flotte d’une quinzaine de voitures de toutes tailles, y compris des camionnettes », précise encore Denis Gilbert. Selon lui, plus de 40% des réparations sont faites en moins de 8 heures, et plus de 80% en moins de 2 jours.

Personnel stable

Polycar occupe 12 ouvriers (démonteurs / remonteurs, peintre, préparateurs, tôliers, apprentis) et 4 administratifs. A noter que la société qui connaît un fort développement est toujours à la recherche d’ouvriers qualifiés.

Les formations sont assurées par Glasurit et par le groupement Axial et Educam. Quant à OMIA, l’entreprise assiste également ses clients dans les formations afin d’atteindre la meilleure rentabilisation des cabines.

L’atelier représente un espace de 600 m², auquel il faut encore ajouter 300 m² d’un second atelier à quelques mètres de là ainsi que les espaces pour les bureaux.

Tableau de commande intuitif

“D’un point de vue gestion”, nous dit encore Denis Gilbert, “nous devons mesurer pour savoir. Nous contrôlons le prix des pièces, les temps prestés, les quantités de peinture appliquées. Dans ce cadre, la cabine nous donne des informations, comme la durée t le nombre de cycles de peinture effectués par le peintre, ainsi que la consommation en énargie, autant de paramètres qui nous permettent de contrôler notre rentabilité.”La facilité d’utilisation des cabines permet de réaliser 4 à 5 cabines par jour. Le système est simple et efficace. C’est l’Ipad au cœur de la cabine qui fournit l’ensemble des paramètres. Le tableau de commande est intuitif et facile à utiliser. La machine prévient elle-même quand il faut prévoir un entretien. “D’un point de vue gestion”, nous dit encore Denis Gilbert, “nous devons mesurer pour savoir. Nous contrôlons le prix des pièces, les temps prestés, les quantités de peinture appliquées. Dans ce cadre, la cabine nous donne des informations, comme la durée t le nombre de cycles de peinture effectués par le peintre, ainsi que la consommation en énargie, autant de paramètres qui nous permettent de contrôler notre rentabilité.”